(F) CRI D’URGENCE D’ALTEA : Où le Conseil Municipal refuse d’agir de manière constructive depuis au moins 20 ans (2ème épisode)

Door Gepubliceerd op: 26 mei 2024

Une liste des sujets abordés peut être trouvée sur la PAGE INDEX

2ème ÉPISODE

Après que la Municipalité ait fait paver les routes, elle a déterminé que ces routes étaient impropres à un trafic de plus de 15 tonnes.
En outre:
Les routes n’étaient pas équipées d’égouts et il n’y avait pas de trottoirs pour les promeneurs.

Limitation de poids
Afin d’éviter d’endommager l’asphalte, après la pose de l’asphalte, un panneau a été placé à l’entrée indiquant clairement que la zone est interdite aux camions de plus de 15 tonnes.
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Les camions trop lourds sont facilement reconnaissables :

Trois essieux avec 1 roue à gauche et 1 roue à droite.
Donc un total de 6 roues ou plus.

Chaque automobiliste sait donc exactement s’il est autorisé à entrer dans le hameau.
Mais les entrepreneurs et leurs chauffeurs ne se soucient pas de cette interdiction.
Ils détruisent simplement les routes et cela ne les dérange pas que la facture finisse à nouveau dans l’assiette du hameau.

Conséquences du trafic de marchandises intense le samedi 4 mai 2024

Permis de construire
Chaque année, la Municipalité délivre des permis de construire pour des projets dans notre quartier.
Mais jamais avec une obligation explicite d’utiliser des camions pesant au maximum 15 tonnes.
Petit effort, mais trop d’effort pour la municipalité d’Altea.

APPLICATION DES APPLICATIONS GÉRÉE JUSQU’À NOUVEL ORDRE
Sans consulter le conseil d’administration de l’association des habitants, la municipalité a décidé à un moment donné que les entreprises de construction pourraient laisser leurs camions circuler sans entrave dans la Galera, quel que soit leur poids.
Nous ne savons pas exactement quand elle a décidé cela.
Comme nous l’avons entendu, la municipalité a décidé de faire cela parce qu’autrement, il ne serait pas possible de réaliser efficacement les plans de construction sur les parcelles qui appartenaient encore aux spéculateurs fonciers.
C’est évidemment une erreur, car en utilisant des camions plus petits, les routes seraient épargnées, ce qui pourrait donc entraîner un flux de travaux de réparation.
DANS LA SALLE D’ATTENTE
Le conseil d’administration de l’association a fait de nombreuses tentatives pour réparer les routes au cours des 20 dernières années. Mais la municipalité a indiqué qu’elle ne réparera les routes que lorsque toutes les parcelles auront été dotées d’habitations.
Il reste encore au moins 104 parcelles non bâties, il faudra donc des décennies avant que les résidents actuels ne disposent de routes adéquates.

S’il est si important d’avoir un trottoir le long des routes et des lampadaires, pourquoi les propriétaires de ces terrains ne sont-ils pas obligés d’installer ces choses-là ?

FRUSTRATION UTILE
Les rédacteurs de Findinet se demandent sur quelle base une municipalité peut délibérément ordonner la destruction de routes construites pour le compte de tiers, pour ensuite frapper à nouveau les habitants en refusant de réparer chaque année les conséquences de cet acte.

A suivre dans : ÉPISODE TROIS

 

 

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Redactie Findinet

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